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Nous nous évertuons toujours à bien mettre les points sur les « I »

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Une table dans un garage avec un pot-trayeur, voilà ce à quoi ressemblait la première chèvrerie de Wim et Marit van der Wal à Ommeren. Et cela fait maintenant plus de quatre ans qu’ils traient leurs 1500 chèvres dans une salle de traite 2x45 side by side Rapid Exit SAC. « Prochainement, nous allons installer un système d'identification des animaux dans la salle de traite. Grâce à cet outil, nous pourrons améliorer encore davantage notre gestion des chèvres. »


Un départ en douceur

En avril dernier, cela faisait déjà plus de 32ans qu’il élevait des chèvres. Wim van der Wal ne peut s’empêcher de rire quand il raconte les débuts de son exploitation. « À 18 ans, j’ai commencé dans la ferme de mon père. » Avec dix vaches et des cochons, l’exploitation du père Van der Wal était petite. « Je voulais vraiment traire des vaches, mais ce n’était pas faisable financièrement », explique Wim, qui a commencé par traire des chèvres lui-même et a travaillé aussi pour un éleveur laitier en plus de son troupeau d’une centaine d’animaux. « J’ai travaillé en parallèle pendant de nombreuses années pour pouvoir améliorer mes connaissances sur l’élevage de chèvres. »

Passage à 1250 litres de lait

D’un équipement où il était possible de traire dix chèvres en même temps, Wim a augmenté sa capacité à une fosse de traite pouvant accueillir 24 chèvres. Le troupeau s’est agrandi, et c’est ainsi qu’ils ont finalement atterri à Ommeren en 1996, où ils ont pu construire un bâtiment entièrement neuf et ainsi passer un nouveau cap : celui des 1400 chèvres. « L’éleveur laitier chez qui je travaillais utilisait aussi un système SAC pour la traite. Il va sans dire que je me suis également tourné vers ce système lorsque nous avons voulu monter une salle de traite plus grande », explique Wim. Cette croissance a été de pair avec la recherche d’une plus grande qualité et d’une meilleure santé animale. En 2012, nous avons réformé l’ensemble du troupeau pour des chèvres qui n’étaient pas atteintes des maladies suivantes : la LC et l’AEC. « Les résultats se sont également fait ressentir au niveau de la production », déclare Wim, qui se félicite de cet échange. « D’une moyenne de 800 kg de lait, la production est passée à plus de 1250 kg de lait par chèvre et par an. » Avec cet accroissement de capacité, la salle de traite 2x28 s’est révélée sous-dimensionnée déjà au bout de quelques années. « Nous passions jusqu'à dix heures par jour à traire et à nettoyer. C’est à ce moment-là que nous avons dû chercher d’autres trayeurs car ce n’était plus faisable tout seul. »

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Vue d’ensemble dans une configuration side-by-side

Ils se sont alors lancés à la recherche d’une nouvelle salle de traite. La capacité de la machine était pour eux l’un des critères les plus importants. « Au début, nous pensions à un roto de traite mais en fait non», indique Wim. « Après le branchement des manchons trayeurs, la chèvre continue à tourner, hors du champ de vision », décrit Wim qui accorde une grande attention à la surveillance des animaux pendant la traite. « Une fois passé le virage, on ne voit plus rien. De plus, le trayeur reste toujours au même endroit pour faire le même mouvement, ce qui ne me semblait pas idéal sur le long terme. » Ils se sont donc renseignés sur la salle de traite side-by-side. « Avec une meilleure vue d’ensemble, des mouvements variés pour le trayeur et des couloirs droits », Wim explique les avantages qui ont été décisifs pour lui. « Et bien sûr, la grande capacité. » Après avoir testé la traite dans cette salle de traite, ils étaient absolument convaincus. « Nous étions totalement conquis. Tout nous convenait. »


Une entière et totale satisfaction

La salle de traite side by side SAC 2x45, avec système d’alimentation, indicateurs de lait IDC avec vérin Quickstart, retrait et sortie rapide, fonctionne depuis plus de quatre ans et demi pour l’entière satisfaction de Wim. « La traite prend environ quatre heures nettoyage inclus. » Entre-temps, la chèvrerie s’est agrandie pour atteindre environ 1500 animaux et les trayeurs sont également restés en poste. « Nous faisons également appel à des prestataires externes en travaux agricoles, où travaille également notre fils William. » Une capacité de traite de 500 chèvres à l'heure est envisageable. « Nous pourrions encore légèrement accélérer le processus en sélectionnant la vitesse de traite, mais en fin de compte les performances que nous attendions de cette salle de traite ont déjà comblé toutes nos espérances. »


Davantage de données pour de meilleures décisions

Il est toujours temps de chercher des améliorations, car à la ferme de chèvres laitières de Van der Wal, il n’est jamais question de se reposer sur ses lauriers. « Nous avons acheté un système d'identification des chèvres pour 32 postes », indique Wim. « En résumé, cela signifie que chaque chèvre est positionnée à un poste au moins trois fois par semaine, ce qui permet d'enregistrer les données de production de chaque chèvre dans un système informatique. » Une plus grande quantité de données permet aux éleveurs de chèvres de prendre de meilleures décisions en matière d’élevage et d’exploitation. « Nous vendons encore environ 130 à 140 chèvres par an à d’autres éleveurs de chèvres. Ces informations sont donc les bienvenues et, de plus, indique Wim avec un sourire, nous nous évertuons  toujours à bien mettre les points sur les "i". »